jeudi 4 février 2021

Turnstiles - Turnstiles EP

 Turnstiles  - Turnstiles EP

 

 Turnstiles is the fourth studio album by American singer-songwriter Billy Joel, released on May 19, 1976: aucun lien!

Stiles were designed to allow farmers to cross over fences or hedgerows while keeping sheep and cattle in their place. These stiles actually looked a lot more like step ladders than today’s turnstiles.... peut-être, vu que the Galway is a breed of domestic sheep originating in Galway, in the west of Ireland et que les Turnstiles, dont il est question, sont issus de Galway.

Ajoutons, néanmoins, que le frontman Callum Mitchell a vu le jour aux bords de la Tamise londonienne.

Le groupe se forme en 2019, ramasse des lauriers  lors du concours Star Nation band Competition à Dublin et du coup receives a one-day recording session at the renowned Windmill Lane Recording Studios, famous for recording acts such as David Bowie, Lady Gaga, U2 and The Rolling Stones, leur performance lors du contest étant qualifiée de blistering.

Direction les studios pour graver quelques singles et, début janvier, un EP baptisé de manière originale "Turnstiles".

Quatre titres distribués par Blow Torch Records!

 

Tracklist
1 Something To Die For
2 Just Bleed
3 In A State
4 Omniscient Delusion
 
Line-up:
 
Drums: Luke Mulliez
Bass: Jake Tiernan
Guitars: Cillian Ryan and  Colm Sweeney
Vocals: Callum Mitchell
 
Genre:  Punk!

Une gueulante stridente pour ouvrir l'extended play, 'Something to die for' a tout pour faire fuir le chat, ta conjugale et son amant, caché sous le lit.
Les guitares toussent pire qu'un agonisant au stade final, Luke, à la batterie, se déchaîne comme le forgeron venant de découvrir que madame se tape son meilleur copain, celui avec lequel il joue au foot tous les samedis, et Callum, non pas David McCallum, celui que tu regardais tous les vendredis dans la série "The Man from UNCLE", s'époumone à faire éclater ses branchies  tout en se posant des questions existentielles   ... This is our Great War but who do we fight for?.... bref, l'entrée en matière, tonitruante, ne va pas te laisser indifférent.  
Du métal hurlant en fusion, réservé aux punk addicts!
T'étais pas tout à fait mort, quand le quintet te propose ' Just bleed'.
 Ils ont sorti le bistouri et entaillent tes chairs en souriant.
Qu'a bouffé Callum pour montrer tant de rage et, les dents serrées,  lever le poing?
Démarrage flegmatique pour 'In a State', c'est pour mieux mystifier le client, après 25 secondes, les grattes se libèrent, puis le frontman lâche la bride et t'as l'impression d'entendre les Stranglers des débuts.
Il n'est pas de bonne humeur, le gars de Londres, mais lucide, ...All dreams are disillusions...
You built this world on hate ... The system has expired... ne sont que quelques uns des constats qu'il égrène, le monde est dans un sale état, la corruption est reine!
Les Sex Pistols nous l'avaient déjà fait savoir en 1977, résultat: I’m in the kitchen,  my head's in the sink!
Heureusement,  il reste  les Verts (non, pas ceux de Dominique Rocheteau)!
Tu reprends haleine et sèche ton crâne après être sorti de l'évier, et, vlan, ils balancent une dernière gifle,
'Omniscient Delusion'.
On avait déjà mentionné les étrangleurs, la basse de Jake n'a rien à envier à celle de J J Burnel, les Turnstiles frappent fort et ça fait mal, très mal.
On est un poil maso, on aime ça!
 
Punk is not dead, se vérifie derechef.
Long live Turnstiles!
 
Rien à dire, Johnny?
 We mean it man, we love our Queen.
D'accord, nous aussi on aimait Freddie!