Please find the latest Bees Deluxe album "mouthful of bees".
Mince, jamais entendu parler, t'es pas apiculteur, tu connais les Bee Gees, Bees Make Honey, A Band of Bees, The King Bees, She Keeps Bees, Phil Bee's Freedom et les B-52's.
D'où sort cet essaim?
Nestor Burma?
Suis retraité, fieu!
Philip Marlowe, we need a helping hand!
Cherche du côté de Boston, il existe un Bees Deluxe pratiquant un mix d'acid blues et de jazz-inspired, funk.
Muchas gracias, Marlowe.
Tu continues à fouiner sur la toile, Spotify signale plusieurs CD's avant ce ' Mouthful of Bees', le dernier 'View of a dog' en 2018.
Cette plaque contenait des compos originales, Mouthful of Bees propose plusieurs covers.
Quoi, le line-up, ça vient:
Carol Band keyboards + vocals/ Allyn 'Aldo' Dorr bass + vocals,/ Paul Giovine drums + percussion ( ex Keb Mo) et le British ( ze chief), Conrad Warre, guitar + vocals.
Tracklist/
Voodoo Doll
Damn Your Eyes
Prison of Love
Bad Influence
Walking Out
I Wouldn't Treat a Dog (The Way You Treated Me)
For The Love of a Woman
Homework
Palace of the King
Blue + Yellow
L'album démarre en mode acid blues, style que le groupe a choisi pour qualifier sa marchandise, gaffe de ne pas te piquer avec une des épingles traversant la 'Voodoo Doll', une poupée peut-être moins massive que le 'Voodoo Child' de Jimi à la sauce Stevie Ray.
Pas de panique, Conrad sait faire pleurer sa gratte, le blues funk dégouline de partout, pauvre petite poupée, pas riche, saignée à blanc
Chouette entrée en matière, suivie par 'Damn Your Eyes', le classique immortalisé par Etta James.
Pour certains flics, you're taking my breath away.... ne doit pas laisser que de bons souvenirs.
Après ce downtempo , ils s'attaquent, avec détermination et quelques effets wah wah bien sentis, au 'Prison of Love' de Robben Ford and The Blue Line.
Toujours au rayon reprises, ils enchaînent sur ' Bad Influence' de Robert Cray, une plage que Clapton avait insérée dans la tracklist d' 'August'.
S'il est impossible d'imiter la voix caressante de Robert (Conrad n'essaye même pas), la version du gang des abeilles tient aussi bien la route que la DS du Général De Gaulle en plein attentat.
Guitare limpide, timbre légèrement éraillé, rythmique sobre et juste, orgue discret, c'est du velours!
Retour au matériau propre avec 'Walking Out' a high pace blues track pendant lequel la guitare cavale fièrement, tandis qu'un piano, en sourdine, dévoile le passé jazzy de Miss Band.
Bobby "Blue" Bland n'a jamais maltraité son clebs, il le rappelle à une nana dont il ne garde pas que des bons souvenirs, ' I Wouldn't Treat a Dog (The Way You Treated Me)' .
Bees Deluxe nous soumet une version laidback que tu peux savourer en flattant Blacky en le caressant négligemment.
Tu dis, t'as pas de chien?
Masturbe-toi!
Précédé d'une longue et fluide intro, 'For the Love a Woman' joue brillamment la carte slow blues, c'est clair, Conrad Warre, l'ex- journaliste du Melody Maker ou du NME connaît toutes les ficelles, tu ne peux qu'acquiescer lorsque Bill Copeland écrit "Conrad Warre is taking Bees Deluxe to new heights".
Otis Rush originally released 'Homework', written by Al Perkins and Dave Clark in 1962.
Depuis, tous les bluesmen négligent leurs devoirs, la faute à qui?
Baby, you got me so blind....
Il n'y a pas d'âge pour être amoureux, by the way tasty licks, Conrad!
Un autre géant du blues, parti en 1976, se nommait Freddie King, le gang de Boston reprend un de ses chevaux de bataille, ' Palace of the King' écrit par Leon Russell/Don Nix/Donald Dunn.
Le groove suinte de partout, t'as à peine épongé ton front que la clique entreprend le dernier acte, 'Blue+Yellow', un morceau écrit pour les supporters de l'Union Saint-Gilloise, illustré d'un dialogue courtois claviers/guitare, tandis que la rythmique nous la joue Carl Radle/ Jim Gordon, comme sur le premier album solo d'Eric Clapton.
Bees DeLuxe : à découvrir d'urgence!
S'il est impossible d'imiter la voix caressante de Robert (Conrad n'essaye même pas), la version du gang des abeilles tient aussi bien la route que la DS du Général De Gaulle en plein attentat.
Guitare limpide, timbre légèrement éraillé, rythmique sobre et juste, orgue discret, c'est du velours!
Retour au matériau propre avec 'Walking Out' a high pace blues track pendant lequel la guitare cavale fièrement, tandis qu'un piano, en sourdine, dévoile le passé jazzy de Miss Band.
Bobby "Blue" Bland n'a jamais maltraité son clebs, il le rappelle à une nana dont il ne garde pas que des bons souvenirs, ' I Wouldn't Treat a Dog (The Way You Treated Me)' .
Bees Deluxe nous soumet une version laidback que tu peux savourer en flattant Blacky en le caressant négligemment.
Tu dis, t'as pas de chien?
Masturbe-toi!
Précédé d'une longue et fluide intro, 'For the Love a Woman' joue brillamment la carte slow blues, c'est clair, Conrad Warre, l'ex- journaliste du Melody Maker ou du NME connaît toutes les ficelles, tu ne peux qu'acquiescer lorsque Bill Copeland écrit "Conrad Warre is taking Bees Deluxe to new heights".
Otis Rush originally released 'Homework', written by Al Perkins and Dave Clark in 1962.
Depuis, tous les bluesmen négligent leurs devoirs, la faute à qui?
Baby, you got me so blind....
Il n'y a pas d'âge pour être amoureux, by the way tasty licks, Conrad!
Un autre géant du blues, parti en 1976, se nommait Freddie King, le gang de Boston reprend un de ses chevaux de bataille, ' Palace of the King' écrit par Leon Russell/Don Nix/Donald Dunn.
Le groove suinte de partout, t'as à peine épongé ton front que la clique entreprend le dernier acte, 'Blue+Yellow', un morceau écrit pour les supporters de l'Union Saint-Gilloise, illustré d'un dialogue courtois claviers/guitare, tandis que la rythmique nous la joue Carl Radle/ Jim Gordon, comme sur le premier album solo d'Eric Clapton.
Bees DeLuxe : à découvrir d'urgence!