Jerry McGill, one of the more mysterious musical legends in Memphis history...le gars ne sortait jamais de chez lui sans avoir au minimum un flingue à portée de main!
Un de ses proches:" .. If you didn’t like his sweet talk, he’d show you the muzzle of his gun.”
Jerry connaît un début d'intérêt comme frontman des Topcoats, un rockabilly band hantant les bars de Memphis.
Ils enregistrent un single pour Sun Records, en 1959: “Lovestruck,” backed with “I Wanna Make Sweet Love.”.
La galette est devenue collector's item.
Ses incartades diverses (bagarres, coups de feu , ivresse publique) lui valent d'être arrêté une centaine de fois par la flicaille du Tennessee.
Relâché et, sous le nom de Curtis Buck, il accompagne à la rhythm guitar la country star Waylon Jennings.
Il est crédité comme co-writer on Jennings’ classic “Waymore’s Blues”.
Dans les 70's il revient à Memphis, squatte les studios d'enregistrement, les bandes existent, le disque ne verra pas le jour.
Il tourne dans a video-art document "Stranded in Canton”, mais très vite les ennuis recommencent, poursuivi pour tentative de meurtre et autres peccadilles!
Il refait surface en 2009, mais la faculté lui trouve un cancer, il se remet pourtant à faire de la scène.
Un documentaire consacré à sa vie dissolue, "Very Extremely Dangerous”, est présenté au Indie Memphis Film Festival, où il obtient une récompense .
Ce sera un des derniers faits marquants de son existence, he died Thursday ( le 30 mai) at Huntsville Hospital at age 73.