Dernier gratis Sunday afternoon concert 2009, organisé par Curieus Schaarbeek au Kriekelaar.
Des nouvelles de la rue Gallait? Same hole shit!
Qu'a amené Surfing Airlines ce coup-ci?
Big Jugs
Quoi? Des grosses cruches? De gros nibards siliconés?
Obsédé... Big Jugs= du grandpa country & bluegrass de Californie (Santa Barbara).
Ces 5 rigolos doivent être les Village People du hilbilly: t'as un chapeau melon + neck tie, un costard blanc/Stetson, un homme de Néanderthal, un bleu de travail et un ayotallah nudiste!
A 14h45' après avoir englouti leur Brusselse kip et fait leur petit rot, ils sont en piste.
'Welcome Home' l'ayotallah, ayant dénombré pas mal d'Ottomans à Schaarbeek, se sent chez lui.Ce titre ouvre leur album ' Ridin' Dirty'.
Au chant, guitare ac. ou banjo:Vegas Washington (sic)- au dobro et chant:Leeroy Dynamite - upright bass et backings: Woodburn Burnwood (re -ziek) - washboard et cowbell en plastic: Bertrand Alouishious ( euh c'est pas Bertrand...,sorry)- Eugene Burlap à la demi- batterie et à la scie: t'es content?
'Moonshine' about drinking, on l'avait deviné, zatlap. Chouette son de dobro, mais ce country est un peu trop gentil pour un groupe qui se veut le chantre de Dolly Parton, Pamela Anderson et autres big breasts aus California.
' Ballad of the Hammerswinger' ...is this some sort of punishment... se demande Mr Sunglasses & Stetson.Ils avouent avoir été influencés par toute la famille Williams ( Hank, Jr. et le numéro 3).
'Pro in Prostitute' une country romance en harmonies...I've been so lonesome since the day I left you...qui sont les madames?
'Song about my horse' un petit rodeo avec canassons excités.
'Outlaw Yodle' rempli de références ce yodling californien: ..I've been to Reno but I never shot a man... ,compris Johnny (pas celui qu'est dans les vapes, un homme en noir). Charlie McDaniels, Willie Nelson et Iron Maiden passent aussi la revue.
Une cover de Hank Williams III 'Crazed Country Rebel', a drinking social song.
A new one: 'It's OK', du country & western joyeux, idéal pour chanter la Belgian beer et enchanter les Belgian women, pas très nombreuses en ce dimanche.
Alouisshious aux vocals 'Coming down again' chanson boy-scout, suivie d'un skiffle comme l'aimait Hugues Aufray en 1965.
On termine le set par une reprise de Bad Religion 'Walk Away', et ils s'en vont boire un coup, nous aussi!
Que dis-tu, Jacqueline? Trop brave, tu préfères la country plus sale, ik ook!
Set 2
Intro au banjo et un bluegrass 'Line 'em up'.Trop tôt pour les line dancers.
De la country sans train song ça n'existe pas: 'Ghost Train'.
Vous avez du bol en Belgique, vos bières sont excellentes, nous on a la Budwiper, du pipi de chat castré, on boit ça à cette occasion: 'Cowboy Wedding', inévitablement ça se termine en bagarre générale.Un final Duelling Banjos, avec un seul banjo.
'Three Shots' introduit par un concerto en saw majeure, un singalong pas compliqué, Brussels.Vous gueulez I do, quand on envoie who wants to take three shots? Oui,madame!Esotérique ce titre pour éternels assoiffés, on y insère des passages du classique 'Oh Suzanna,... with a banjo on my knee...Du Laurel & Hardy country.
Johnny Cash 'Cocaïne Blues', excellent.
A little Spanish: un, dos, tres, quatro Audi ' No Mi Gusta',du Speedy Gonzales rockabilly.
Les cowboys connaissent pas Monsieur Propre: ' Dirty Drunken Cowboy', le Bourbon on le boit by the jar. Thin Lizzy savait ça, aussi.
Un titre carré blanc, les enfants sont au lit? 'My Girlfriend'...I could tell it was your bitch by the way her pussy smell... chanson préférée des intellos du Kriekelaar.
'Androme' un ami à nous s'appelle comme ça. Ce titre est une true story à propos d'un buveur de Moonshine sur les hauteurs de Santa Barbara.Ecoute ça.... one shot will take your nipples hard...Le prix Nobel des AA est en vue, les gars. Très Johnny Cash cette rengaine.
Last one: 'Tonight we Drink' une obsession! Le titre le plus irlandais du set, les Pogues et autres buveurs de Guinness apprécient.
Un second set plus intéressant.
Les Jugs emballent, direction Ace Café, second gig today!
Salut Bill, Steven, Walter, tot volgend jaar!