Line-up :
Toby JEPSON : vocals - guitar
Nic WASTELL : bass (ex-chrome Molly)
Sam WOOD : guitar - backing vocals
Phil MARTINI : Drums
Dave KEMP : Keyboards - Backing Vocals
C’est au quintette britannique formé en 2016 sous la houlette du
guitariste-chanteur Toby Jepson que revient le privilège d’essuyer les
plâtres et de chauffer la salle, comme on le dit couramment. Il en faut
plus que ça pour déstabiliser notre leader qui a de la bouteille, si j’en
juge son passé musical, qui rappellera certainement de bons souvenirs
aux amateurs du genre puisque Toby a fait, entre autres, partie de
Little Angels (1984-1994), Gun (2008-2010), Fastway et Dio’s Disciples.
Au niveau des vocalistes, cette soirée est résolument placée sous le signe des gars qui savent chanter haut et tenir la note, mais sans que cela devienne un exercice de pure démonstration-compétition comme c’est souvent le cas chez les louves en chaleur dont je tairai le nom peu importe leur couleur de peau.
Fort de ses deux albums, « Ghosts of Yet To Come » et « The Truth Ain't What It Used To Be » datant respectivement de 2017 et 2019, Wayward Sons dont le nom fait directement référence au titre éponyme du groupe Kansas, dispose de trente minutes pour convaincre le public. Examen de passage réussi puisque leur rock enjoué et bien enlevé va faire mouche d’emblée.
Ne vous-y trompez pas, les superbes pochettes des albums qui flirtent allègrement avec le style des Marvel comics made in USA, n’a rien de bête, le contenu est très bien écrit et mérite une bonne place dans toute discothèque d’amateur de groupes de la NWOBHM (New Wave of British Heavy Metal, c’est la dernière fois que je l’inscris en toutes lettres, te voilà prévenu).
Avec des titres comme « Any Other Way », « Don’t Wanna Go » ou encore « Until The End » Wayward Sons nous rappelle qu’il n’y a pas toujours besoin de faire compliqué pour faire un rock qui touche sa cible. Trente minute minutes ça passe très vite quand on prend du plaisir.
A revoir avec intérêt en tout cas.
Les musiciens font également office de roadies, comme quoi, on peut être professionnels, mettre les mains dans les câbles et porter son matériel quand le besoin se fait sentir.
Et moi aussi je peux faire simple parfois, ah, tu vois ?
Mitch « ZoSo » Duterck
Au niveau des vocalistes, cette soirée est résolument placée sous le signe des gars qui savent chanter haut et tenir la note, mais sans que cela devienne un exercice de pure démonstration-compétition comme c’est souvent le cas chez les louves en chaleur dont je tairai le nom peu importe leur couleur de peau.
Fort de ses deux albums, « Ghosts of Yet To Come » et « The Truth Ain't What It Used To Be » datant respectivement de 2017 et 2019, Wayward Sons dont le nom fait directement référence au titre éponyme du groupe Kansas, dispose de trente minutes pour convaincre le public. Examen de passage réussi puisque leur rock enjoué et bien enlevé va faire mouche d’emblée.
Ne vous-y trompez pas, les superbes pochettes des albums qui flirtent allègrement avec le style des Marvel comics made in USA, n’a rien de bête, le contenu est très bien écrit et mérite une bonne place dans toute discothèque d’amateur de groupes de la NWOBHM (New Wave of British Heavy Metal, c’est la dernière fois que je l’inscris en toutes lettres, te voilà prévenu).
Avec des titres comme « Any Other Way », « Don’t Wanna Go » ou encore « Until The End » Wayward Sons nous rappelle qu’il n’y a pas toujours besoin de faire compliqué pour faire un rock qui touche sa cible. Trente minute minutes ça passe très vite quand on prend du plaisir.
A revoir avec intérêt en tout cas.
Les musiciens font également office de roadies, comme quoi, on peut être professionnels, mettre les mains dans les câbles et porter son matériel quand le besoin se fait sentir.
Et moi aussi je peux faire simple parfois, ah, tu vois ?
Mitch « ZoSo » Duterck