Des mauvais perdants, les Sore Losers?
Serena Williams, parfois, mais pas les Limbourgeois, ils ne perdent jamais.
En octobre 2018, Jan Straetemans (vocals , rhythm guitar)/ Cedric Maes (lead guitar, backing vc.)/ Kevin Maenen ( bass, backing vc.) et Alessio Di Turi (drums , backing vc.) ont sorti une quatrième plaque, "Gracias Señor".
A la production: James Petralli et Steve Terebecki, guitariste/chanteur et bassiste chez White Denim, un combo pratiquant un indie rock, truffé de blues, garage, psychédélisme ou d'effluves sudistes, bref, des gens connaissant leur job.
Le précédent méfait des Losers, 'Skydogs', leur avait permis de tourner avec Boss Hog, de humer l'air chez Tonton Sam ou chez Akihito et d'être baptisés the true children of rock, the last testifiers of the revolution, the new rajahs of rock, par une madame publiant chez All Access.
Donc, à Hasselt, tout baigne, le Gracias Señor tour a débuté en octobre et doit se poursuivre jusqu'au 10 février, avec une date-phare au Botanique.
Ensuite un petit mois de repos, histoire de recharger la batterie, pas de panique les constructeurs nous promettent bientôt 800 km d'autonomie, la reprise est pour le 8 mars à Sint-Niklaas.
Hé, Nestor, tu la glisses dans le lecteur, la rondelle?
T'es bien impatient, voici la tracklist.
A Little More
All In A Day's Work
Dark Ride
Eyes On The Prize
Denim On Denim
Get It Somehow
Little Baby (Doughboy)
Where Are You?
Anything Goes
I'll Go Back
'A Little More' , la plage ouvrant l'ouvrage nous plonge dans une sphère sixties avec des sonorités de guitares rappelant le Creedence.
Une entrée en matière graisseuse à souhait.
Si les Beatles, en 1964, rentrés fourbus après une séance d'enregistrement, ont pondu 'A Hard Day's Night', The Sore Losers s'en tiennent à 'All In A Day’s Work' , une plage aux effets psyché virant soudainement garage virulent.
Accroche la ceinture, le truc secoue vilainement.
On te parlait des Fab Four, la bande à Jagger n'est jamais loin, les gars de Hasselt s'en souviennent et balancent le disco rock ' Dark ride' sorti en single, comme précurseur du long-playing.
Put on your dancing shoes, baby!
'Eyes On The Prize' se révèle être un guitar rock track typique, obsédant à l'extrême, tu te mets, sans t'en rendre compte à chantonner le chorus ...there ain't no way to go ... avec les musiciens, tandis que Jan Straetemans expose son roman.
Retour aux effets acides avec 'Denim on denim' .
Tu m'ajoutes de la reverb sur la voix, hein, Joe, ça plaît aux filles!
La suivante, l'explosif ' Get it somehow' remue vicieusement, pas question d'effleurer la pédale de frein et tant pis pour la contreballe.
Les influences end of the sixties/ early seventies ( Led Zep, les Guess Who, James Gang...) se ressentent from top to the heel dans la construction et le rendu de ' Little Baby' (Doughboy).
Ensuite le groupe propose une plage plus mélodieuse, à l'orchestration sophistiquée, ' Where are you' , montrant ainsi qu'il peut également s'intégrer dans un univers pop.
Après ces 4 minutes de calme relatif il est temps de secouer le cocotier, donc le trépidant 'Anything goes' va obliger ton talon droit à battre la mesure, ce qui n'a pas plu au bonhomme nichant à l'étage du dessous.
Avant de remercier le monsieur, il reste un chapitre, ' I'll go back', un petit rock sexy, truffé de choeurs poppy.
Prochaine étape pour les Sore Losers?
Pourquoi pas la consécration aux States, comme pour Shocking Blue ou Golden Earring, il y a plus de quarante ans!
Une entrée en matière graisseuse à souhait.
Si les Beatles, en 1964, rentrés fourbus après une séance d'enregistrement, ont pondu 'A Hard Day's Night', The Sore Losers s'en tiennent à 'All In A Day’s Work' , une plage aux effets psyché virant soudainement garage virulent.
Accroche la ceinture, le truc secoue vilainement.
On te parlait des Fab Four, la bande à Jagger n'est jamais loin, les gars de Hasselt s'en souviennent et balancent le disco rock ' Dark ride' sorti en single, comme précurseur du long-playing.
Put on your dancing shoes, baby!
'Eyes On The Prize' se révèle être un guitar rock track typique, obsédant à l'extrême, tu te mets, sans t'en rendre compte à chantonner le chorus ...there ain't no way to go ... avec les musiciens, tandis que Jan Straetemans expose son roman.
Retour aux effets acides avec 'Denim on denim' .
Tu m'ajoutes de la reverb sur la voix, hein, Joe, ça plaît aux filles!
La suivante, l'explosif ' Get it somehow' remue vicieusement, pas question d'effleurer la pédale de frein et tant pis pour la contreballe.
Les influences end of the sixties/ early seventies ( Led Zep, les Guess Who, James Gang...) se ressentent from top to the heel dans la construction et le rendu de ' Little Baby' (Doughboy).
Ensuite le groupe propose une plage plus mélodieuse, à l'orchestration sophistiquée, ' Where are you' , montrant ainsi qu'il peut également s'intégrer dans un univers pop.
Après ces 4 minutes de calme relatif il est temps de secouer le cocotier, donc le trépidant 'Anything goes' va obliger ton talon droit à battre la mesure, ce qui n'a pas plu au bonhomme nichant à l'étage du dessous.
Avant de remercier le monsieur, il reste un chapitre, ' I'll go back', un petit rock sexy, truffé de choeurs poppy.
Prochaine étape pour les Sore Losers?
Pourquoi pas la consécration aux States, comme pour Shocking Blue ou Golden Earring, il y a plus de quarante ans!